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Le 32e Congrès international de l'Union géographique internationale (UGI) à Cologne (août 2012)
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En août 2012, Édith Mukakayumba et Jules Lamarre, de la Maison de la géographie de Montréal ont été invités par le Comité national français de géographie (CNFG) à se rendre à l’Université de Cologne, en Allemagne, pour participer aux tables rondes de la Francophonie présentées dans le cadre du 32e Congrès international de l’UGI, ou Cologne 2012. Ils y étaient à titre de représentants de la géographie de la Francophonie. Cette invitation inespérée allait rapporter gros à l'UGI.
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Université de Cologne, Allemagne |
Cologne 2012 : une Afrique quasi absente de ce grand rendez-vous de la géographie dite internationale
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Lors des grandes conférences d'ouverture du congrès, et dans une salle bondée pouvant accueillir plus de 1000 personnes, Édith Mukakayumba a eu l'impression d'être la seule représentante de l'Afrique noire à Cologne 2012, ce qui a été un choc pour elle. De son point de vue, il fallait aider l'UGI à se rapprocher davantage des géographes africains.
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Pourquoi l'Afrique noire était-elle à ce point sous-représentée à ce Congrès dit international de l'UGI? Était-il possible de changer cet état de fait? Par ailleurs, pourquoi toutes les conférences étaient-elles présentées exclusivement en anglais, sans service de traduction en français? Effectuer une présentation en français n'était pas possible, à moins de le faire dans le cadre des Tables rondes de la Francophonie. Pourquoi une telle barrière linguistique, alors que le français est bel et bien une langue officielle de l'UGI? Telles devinrent aussitôt les préoccupations d'Édith Mukakayumba au moment de revoir Benno Werlen, un membre de l'UGI, avec lequel elle discuterait de cette situation déconcertante.
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